Les 15 secteurs de la ville

Situé à l’est de la ville, ce quartier regroupe villas, lotissements et fermes.
Un mélange de ville et de campagne ! Sur la colline du Chameau se tient la Truffière Historique, site bientôt emblématique du « diamant noir », richesse du Tricastin.

Plus à l’est, la colline de Châtillon était une propriété de l’évêque de Saint-Paul en 1237, le site a servi de carrière pour l’extraction de meules de moulins. Aujourd’hui, les cheminées d’extraction sont encore visibles au sud-est de la colline.

Ce site est accessible sur la balade proposée par le « chemin des arts en Tricastin » : http://chemindesarts.canalblog.com/

Du cœur de ville, la plaine s’étend vers l’est jusqu’à la colline du Chameau.
Plus à l’est s’étendent des terres agricoles composées de vignes, de lavandes, de céréales, de chênes truffiers autour de la propriété des Allènes.

Au nord du centre ville, une petite colline boisée émerge de la plaine. D’après le cartulaire de 1205, la colline est située au sud de l’étang de l’évêque ; elle est appelée « Podium Jovis ou Judeorum ». Or, les découvertes archéologiques infirment la présence d’un temple dédié à Jupiter dans ce secteur. Par contre un pigeonnier de l’évêque est déjà attesté en 1646.

Les vestiges de deux tours sont encore visibles sur la crête. L’une d’elle, voire les deux sont d’anciens moulins à vent. La plus à l’ouest est probablement médiévale. La colline est une propriété communale depuis 1976, un parcours de santé a été aménagé récemment sur le site. Les habitations et le collège Jean-Perrin ont été construits à la fin des années 1970.

Au nord ouest du centre ville, la plaine s’étend jusqu’au pied de la colline de Chanabasset et le quartier des anciens étangs.

Chanabasset compte parmi les 321 hectares de surfaces boisées de la Commune. Y subsistent des vestiges de l’extraction de phosphates fossiles effectuée entre 1869 et 1956. En 1882, apparaissent sur le cadastre, des hangars, un édifice abritant une machine à vapeur, un séchoir et un château d’eau dont les restes monumentaux sont encore visibles.

Ce site est accessible sur la balade proposée par le « chemin des arts en Tricastin » : http://chemindesarts.canalblog.com/

La vieille ville, enceinte d’un rempart attesté au XII^e siècle, renferme un patrimoine remarquable témoignant de son riche passé. L’un des édifices les plus important, la cathédrale romane Notre-Dame-et-Saint-Paul, classé Monument Historique depuis 1841, révèle un style abouti et un savoir-faire exceptionnel des bâtisseurs des XII^e et XIII^e siècles.

Au fil des rues l’histoire de la ville se devine : des vestiges gallo-romains au quartier juif en passant par les nombreux hôtels particuliers, les places et les fontaines ; tous ces lieux contribuent au bien-être des tricastins, des visiteurs qui succombent au charme de l’art de vivre provençal.

Quartier résidentiel qui se situe derrière l’école du Pialon, au départ de l’ancienne route qui mène à Bollène.

Au pied de la ville médiévale, le quartier du Resseguin. Cette terminologie s’apparente au verbe occitan « ressegui » rompre les mottes, herser qui pourrait désigner la fonction des terres du quartier : les jardins potager.

Situé à proximité de nombreuses installations (Saint-Paul 2003, groupe scolaire du Resseguin, coulée verte), ce quartier borde le centre ville historique.

Secteur de campagne, situé en direction de Bollène

Ce quartier est limité à l’est par le chemin du Serre-Blanc correspondant à l’ancienne route menant à Bollène.

L’urbanisation récente du secteur a permis de mettre au jour de nombreux vestiges de la ville antique d’Augusta Tricastinorum. Un quartier résidentiel antique a été révélé lors de sondages archéologiques (maison de retraite « Les Fleuriades »). La construction des lotissements aux alentours du Valladas et plus au sud des petites vignes ont permis la découverte de nécropoles antiques (cimetières) dont le mobilier est présenté au Musée d’archéologie tricastine (Salle de l’Archidiacre devant la mairie).

Plus à l’ouest, le quartier de Montmeyras surplombe la plaine.

Situé au sud de la commune, ce quartier paisible possède quelques trésors.

La colline de Sainte-Juste détient en son cœur une grande richesse : « la pierre du Midi ». Cette molasse calcaire est utilisée depuis l’antiquité pour construire les lieux de vie et les édifices publics locaux et régionaux.

Au Moyen Âge, l’évêque de la cité en devient le propriétaire et y installe une église rurale qui prendra le nom de Sainte-Juste en l’honneur de la sainte venue d’Espagne. Au XIX^e siècle, le plateau est exploité de façon intensive pour fournir en pierre la majeure partie des chantiers de construction des grandes villes françaises et internationales.

Ce quartier est limité à l’est par le chemin du Serre-Blanc correspondant à l’ancienne route menant à Bollène.

L’urbanisation récente du secteur a permis de mettre au jour de nombreux vestiges de la ville antique d’Augusta Tricastinorum. Un quartier résidentiel antique a été révélé lors de sondages archéologiques (maison de retraite « Les Fleuriades »). La construction des lotissements aux alentours du Valladas et plus au sud des petites vignes ont permis la découverte de nécropoles antiques (cimetières) dont le mobilier est présenté au Musée d’archéologie tricastine (Salle de l’Archidiacre devant la mairie).

Plus à l’ouest, le quartier de Montmeyras surplombe la plaine.

Ce quartier se situe à l’ouest de la ville de Saint-Paul. Des recherches archéologiques ont permis de mettre en évidence une occupation préhistorique sur plus de 4ha.

A l’époque antique le quartier est occupé par une villa gallo-romaine et peut-être un sanctuaire dédié aux déesse-mères. A l’époque moderne, un réseau de béals (canaux) alimente les nombreux moulins dans le secteur
Ce quartier est limité à l’est par le chemin du Serre-Blanc correspondant à l’ancienne route menant à Bollène.

L’urbanisation récente du secteur a permis de mettre au jour de nombreux vestiges de la ville antique d’Augusta Tricastinorum. Un quartier résidentiel antique a été révélé lors de sondages archéologiques (maison de retraite « Les Fleuriades »). La construction des lotissements aux alentours du Valladas et plus au sud des petites vignes ont permis la découverte de nécropoles antiques (cimetières) dont le mobilier est présenté au Musée d’archéologie tricastine (Salle de l’Archidiacre devant la mairie).

Plus à l’ouest, le quartier de Montmeyras surplombe la plaine.

Située à l’ouest de la commune, en direction de Bollène, la zone industrielle du Bois des Lots accueille un grand nombre d’entreprises, qu’il s’agisse de PME ou de grands groupes nationaux, la plupart du temps sous-traitants dans le domaine du nucléaire.

Les problématiques qui touchent cette zone sont particulières, puisqu’elle est principalement composée d’entreprises, qui ont des besoins qui leur sont propres : meilleure signalisation de leurs structures, sécurité des locaux et lutte contre les cambriolages, stationnement etc.

Cette zone, située à l’ouest et au nord de la commune, comprend à la fois le parc d’activités Drôme Sud Provence et la Cité 3, véritable bassin de vie.

La Cité 3, composée de logements des anciens ouvriers du barrage, est un lieu particulier de la commune. Eloigné du centre ville, il a néanmoins une culture et une âme. Il fait partie intégrante de l’histoire de la commune.